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Cabane à couper le bois
La Cabane à Couper le Bois se trouve derrière le territoire du Clan du Printemps, et à côté du territoire des Bipèdes. C'est ici que le bûcheron coupe le bois et le revend aux autres Bipèdes. Mais, attention, il y a de nombreux trou, creusés par les lapins.
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Peu de temps après, Lyni dégustait ses proies à l'ombre d'un buisson. Mastiquant d'une manière nonchalante un oiseau, elle finit par enterrer ses restes et de trotter plus loin.
Oscar arriva et but un peu d'eau dans une flaque et tua une petite souris. Il se cacha sous une planche et la dégusta à l'ombre.
Il eu alors une soudaine envie de lapin. Certes, il n'en raffolait pas mais cette odeur qui montait jusqu'à ses narines lui donnait l'eau à la bouche. Il se mit alors à renifler chaque trous pour savoir lesquels d'entres eux étaient occupés. Qu'elle ne fut sa surprise lorsqu'il découvrit l'odeur de l'étrangère dans des trous. Il s'assit devant, attendant un signe de vie et réfléchissant à ce qu'il devait et ne devait pas faire.
Oscar sortit du trou et se dirigea vers le Lac, histoire de vérifier si tout se passait bien.
Houx arriva et tomba sur l’herbe, épuisée. Elle toussa et éternua, à force de faire des baignades forcées, elle avait attrapé un rhume.
Lyni avait entendu du bruit, alors elle avait décidé d'aller voir ce qu'il se passait. Elle tomba sur la jeune féline noire d'il y a quelques heures.
-Oscar m’a attaqué, jetée dans le lac.
Houx regarda la blessure présente sur l’épaule.
-Il...il disait que si la paix régnait c’etait lui qui l’a maintenait en surveillant les entrées et les sorties.
-Non, je crois que ça va. J’ai juste le souffle coupé.
Elle leva la tête et parcourut le paysage en regardant si Oscar était là. Heureusement, non.
-Les mâles.....
"Il le mérite. C'est tout ce qu'il y a à dire. ...Dire qu'il me surveillait et menaçait d'arrêter de jouer à un jeu "dangereux"... Pff, si il savait qui j'étais vraiment, cette pauvre cloche..."
Elle s'éveilla lentement et tenta de se débattre, de se détacher de l'emprise que le félin exerçait sur elle.
Plume Mouchetée arriva près de la cabane à couper le bois. Elle ne reconnaissait pas l'endroit; mais essoufflée, elle se posa dans un trou fait par un lapin, pour se reposer.
Plume Mouchetée sursauta à l'interpellation. Elle se releva, les oreilles en arrière:
"Qui es-tu?"
Houx hocha la tête.
-Ok, donc bienvenue et je te préviens qu’un chat idiot traine dans les parages.
"...Ho non, fit-elle, je ne vois absolument pas qui c'est...il est dangereux?"
Elle semblait néanmoins un peu rassurée par la réponse.
Mais Houx pensait à autre chose. La brise ébouriffait son pelage noir. Elle cligna des yeux avant de dévisager Plume Mouchetée.
-Croit-il qu’il est le plus fort ? Oui, il pense même que tout les solitaires dépendent de lui.
Une cervelle de puce...
Houx sourit faiblement.
-Il est un parfait imbécile. La liberté des solitaires est une chose importante, sinon nous serions des flemmards de chats domestiques.
La femelle noire regardait l’herbe.
-Et toi, qui es-tu et d’où viens-tu ?
Elle resta silencieuse un moment, comme hésitante, puis répondit d'une voix basse:
"Mon nom? C'est Plume Mouchetée... Et disons que...je viens d'ici..."
-Ok.
La solitaire noire se leva et s’en donna un coup de langue sous le poitrail.
-Je.... J’y vais, surtout n’oublie pas que des dangers t’attendent....partout.
La solitaire resta immobile un moment, la fourrure au vent. Mais bientôt, elle écarquilla les yeux, en remuant les oreilles: l'odeur du Clan du Printemps. Ca faisait des lunes maintenant, mais elle la reconnaissait comme lorsque qu'elle était apprentie.
"Houx? Attends moi!"
Plume Mouchetée décida de suivre la femelle noire.
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Une forme grise se distinguait de l'herbe verdoyante, même si de loin, on ne pouvait pas savoir exactement qu'elle était cette chose. En approchant, on pouvait voir qu'elle avait deux oreilles, la queue levée, que ces pattes étaient tendue, prêtes à sauter...
"Oui !"
Elle bondit et tua d'un coup de griffes un animal plutôt massif, qui, lorsqu'elle le prit dans sa gueule, s'avérait être un oiseau dodu. Satisfaite, elle lâcha la prise qu'elle traquait depuis 20 brindilles, pour recracher les plumes. Elle le reprit et l'enterra plus loin, contre un arbre où elle traça une croix pour en retenir l'emplacement, et repartit à la chasse, bien décidée à avoir un festin, le soir venu.